Summarize this content to 2000 words in 6 paragraphs in english Chaque dimanche, de midi à 13 heures, Le Monde s’associe à France Inter pour animer et diffuser l’émission « Questions politiques », présentée par Carine Bécard avec Nathalie Saint-Cricq (FranceTV) et Françoise Fressoz (Le Monde). L’invité dimanche 30 mars était Vincent Jeanbrun, député du Val-de-Marne et porte-parole du groupe Droite républicaine (DR) à l’Assemblée nationale. « Je trouve qu’il y a une forme d’acharnement, on a le sentiment que les juges combattent moins le crime que Nicolas Sarkozy, je trouve ça un peu exagéré », a déclaré le député, qualifiant le réquisitoire d’« excessif », alors que le parquet national financier (PNF) a requis jeudi sept ans de prison contre l’ancien président de la République, soupçonné de financements libyens lors de sa campagne présidentielle de 2007. « Je ne suis ni juge, ni avocat, ni procureur et je veux faire confiance à la justice de mon pays, mais j’ai l’impression qu’il n’y a pas grand-chose » contre Nicolas Sarkozy, a-t-il estimé. « Je n’ai toujours pas compris quelles étaient les preuves manifestes qui permettraient d’aller sur des réquisitions aussi fortes. » Comparant cette affaire à celle des assistants parlementaires présumés fictifs du Front national au Parlement européen, Vincent Jeanbrun a estimé que, contrairement à Nicolas Sarkozy, « dans le cas de Marine Le Pen, il y a des mails, des preuves, c’est extrêmement clair sur les entorses à la loi ». Une émission à réécouter en entier ici. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Au procès Sarkozy-Kadhafi, le Parquet national financier réclame sept ans de prison contre l’ancien président de la République et son « pacte de corruption faustien » Lire plus tard Le Monde Réutiliser ce contenu
