Summarize this content to 2000 words in 6 paragraphs in english Un véhicule brûlé lors d’un barrage routier indépendantiste dans le quartier de Magenta Tours, à Nouméa, le 22 mai 2024. THEO ROUBY/AFP Le dossier judiciaire des violences commises en Nouvelle-Calédonie par des indépendantistes en mai 2024 quitte Nouméa, vraisemblablement pour Paris. La Cour de cassation en a décidé ainsi, mardi 28 janvier, à la grande satisfaction des avocats des militants de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT), au premier rang desquels Christian Tein, incarcéré depuis juin à Mulhouse (Haut-Rhin). « C’est une bonne nouvelle qui va permettre à ce dossier d’être pris avec plus de sérénité », salue l’avocat François Roux, au nom des sept accusés qui, en juin, avaient été placés en détention provisoire à 17 000 kilomètres de chez eux dans l’Hexagone. Lire plus tard L’instruction criminelle s’était ouverte le 20 juin 2024 sous forte pression. Cinq semaines de violences venaient alors de mettre le territoire français du Pacifique à genoux, après des mois de mobilisations politiques sans heurts organisées par le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) contre la réforme du corps électoral poussée par les loyalistes et l’Etat. Les membres de la CCAT, commanditaires présumés des exactions qui ont commencé le 13 mai 2024, ont été poursuivis pour participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes et de délits, notamment une complicité de meurtre d’un gendarme et des destructions en bande organisée. Après l’enquête préliminaire, les chefs de mise en examen pour « terrorisme » ont été écartés. Il vous reste 73.75% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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