Summarize this content to 2000 words in 6 paragraphs in english François Bayrou lors d’une séance de questions au gouvernement, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 28 janvier 2025. THOMAS SAMSON / AFP Deux textes, un seul débat. François Bayrou a confirmé, lundi 27 janvier, sur LCI, sa « décision » de scinder en deux le projet de loi sur la fin de vie, dont l’examen à l’Assemblée nationale a été interrompu par la dissolution décidée par Emmanuel Macron, en juin 2024. Le premier ministre souhaite un texte sur les soins palliatifs, un « devoir » pour les Français, et un autre sur l’aide à mourir – euthanasie ou suicide assisté – qui relève, selon lui, de la « conscience ». « La scission en deux textes est un risque de diversion pour masquer une volonté d’abandon. Nous ne voulons pas de stratégie dilatoire pour reporter le texte aux calendes grecques », a réagi, mardi, Olivier Falorni, député (divers gauche) de Charente-Maritime, à l’unisson de ses collègues de neuf groupes politiques différents autour de lui. Anticipant ce tir de barrage, François Bayrou avait par avance entrepris de convaincre qu’il ne retarderait pas le débat au Parlement. Mardi matin, devant les députés centristes du groupe Les Démocrates, il « a annoncé qu’on allait travailler ces deux textes concomitamment et en même temps, avec une discussion générale commune pour les deux textes », rapporte Erwan Balanant, député (MoDem) du Finistère, porte-parole du groupe. Pour l’élu breton, « avec ce compromis, la question est réglée. Qu’il y ait un ou deux textes, l’essentiel est qu’on arrive à un nouvel encadrement de la fin de vie ». Il vous reste 74.14% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

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