Summarize this content to 2000 words in 6 paragraphs in english Emmanuel Macron, lors de ses vœux aux armées, à Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine), le 20 janvier 2025. STEPHANE MAHE / AFP « La ligne de front se rapproche », c’est en ces termes – plusieurs fois répétés – que le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, a notamment justifié, lundi 20 janvier, au cours d’un déplacement à Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine) pour ses vœux aux armées, la nécessité d’ouvrir le débat sur une nouvelle hausse des dépenses militaires. « Notre allié américain affirme que l’on doit dépenser plus, il a raison », a ajouté le président de la République, tandis que débutait, au même moment, la cérémonie d’investiture du nouveau président des Etats-Unis, Donald Trump. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Pour le budget des armées, une « loi spéciale » à haut risque Lire plus tard Alors que le budget pour l’année 2025 n’est toujours pas voté, M. Macron ne s’est risqué à aucun chiffre ni à aucune échéance pour cette nouvelle augmentation du budget des armées. D’autant que la trajectoire de la loi de programmation militaire (LPM), adoptée il y a tout juste dix-huit mois, prévoit en principe déjà une hausse des dépenses de défense de plus de 3 milliards par an jusqu’en 2030. Mais avec cette annonce, le chef de l’Etat amorce l’aveu, seulement fait en coulisses jusqu’ici, que, face à l’explosion de la conflictualité dans le monde, l’enveloppe initialement prévue de 400 milliards d’euros sur six ans, est déjà trop serrée. Il vous reste 71.34% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
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