Summarize this content to 2000 words in 6 paragraphs in english La ministre de la santé et de l’accès aux soins, Geneviève Darrieussecq (au pupitre), lors d’une séance sur l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025, au Sénat, à Paris, le 18 novembre 2024. BERTRAND GUAY / AFP Les sénateurs ont approuvé, vendredi 22 novembre, deux rallonges financières aux départements et aux maisons de retraite dans le budget de la Sécurité sociale pour 2025, afin d’augmenter les montants alloués aux personnes âgées dépendantes et aux personnes handicapées. Une première, de 200 millions d’euros, a d’abord été validée pour les allocations dépendance (APA) et handicap (PCH) versées par les départements, afin de « soulager les finances » de ces collectivités, a expliqué le ministre des solidarités, Paul Christophe. Adopté à une très large majorité par les sénateurs, cet amendement du gouvernement vient « concrétiser » un engagement pris la semaine dernière par le premier ministre Michel Barnier au congrès annuel des départements. Cette mesure permet en outre de « garantir » pour l’APA un « taux de compensation » par la Sécurité sociale d’au moins 43 % comme en 2024, a assuré M. Christophe, défendant une « première pierre » pour atteindre l’objectif fixé à 50 % d’ici 2030. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le Sénat veut pousser le gouvernement à faire travailler davantage les salariés pour financer les politiques du grand âge Lire plus tard « Aide d’urgence » pour les Ehpad La chambre haute du Parlement a ensuite voté une « aide exceptionnelle » de 100 millions d’euros « à destination des Ehpad », afin que ces établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes « retrouvent une marge de manœuvre », selon le ministre. Une « aide d’urgence » bienvenue, a reconnu la rapporteure Chantal Deseyne (LR), soulignant que le secteur est « toujours dans une très grande difficulté » financière et plaidant pour des « réformes structurelles » à travers une « loi grand âge ». Plus tôt dans la journée, les sénateurs avaient élargi à l’ensemble des établissements sociaux et médico-sociaux l’article sur l’encadrement de l’intérim médical et paramédical à l’hôpital. Par ailleurs, l’expérimentation du dépistage de la soumission chimique a été élargie, afin d’inclure les différents tests et analyses nécessaires. Un sujet particulièrement sensible au Sénat, où l’élu de Loire-Atlantique Joël Guerriau est accusé depuis un an par la députée Sandrine Josso de l’avoir droguée à son insu. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « On meurt moins vite ici qu’ailleurs » : à l’Ehpad de Kersalic, les soignants sont des « souffleurs de vie » Lire plus tard Le Monde avec AFP Réutiliser ce contenu

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