Summarize this content to 2000 words in 6 paragraphs in english La présidente du groupe parlementaire du Rassemblement national, Marine Le Pen, à l’Assemblée nationale, le 4 décembre 2024. ALAIN JOCARD/AFP Près de deux mois auront été nécessaires aux groupes parlementaires de l’Assemblée nationale pour s’accorder sur la répartition des présidences des groupes d’amitié avec des pays étrangers. Ces entités, dont la vocation est de promouvoir une diplomatie parlementaire, visent à tisser des liens avec les assemblées législatives des nations concernées. La désignation des présidences, hautement stratégique, a donné lieu à de longues tractations. Le bureau de l’Assemblée nationale – sa plus haute instance collégiale – avait officiellement lancé la procédure le 20 novembre 2024. Elle devrait être définitivement entérinée lors de sa prochaine réunion, le 22 janvier. Cependant, c’est au cours d’une ultime séance de négociations, lundi 13 janvier, que la liste a été finalisée. La règle est simple : chaque camp reçoit un nombre de présidences proportionnel à son poids. A ce titre, le groupe du Rassemblement national (RN) est donc le mieux servi avec 35 places, contre 26 pour Renaissance, 20 pour La France insoumise (LFI) et 18 pour le Parti socialiste (PS). Il vous reste 77.92% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

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